Pas d'affluence pour ce vendredi 15 mars. Ce n'est pas durant cette réunion que nous nous marcherons dessus. Mais le principal, c'est de retrouver les copains présents.....n'est-il pas ??

Les vaillants compagnons seront, en début d'après midi, Henri et Anthony, et plus tard, nous rejoignent, Stéphane et Cordélia.

Voici nos deux actifs du début de cet après-midi...

Pas de préparation envisagée sur le sherman d'Anthony (certainement en train de sécher dans un coin) mais travail sur les figurines qui accompagneront ce char.

De nouveaux kits ont rejoint l'établi..... Tiens, c'est qu'il y aura du monde, autour de ce char.........

Certaines de ces figurines seront utilisées, sorties de boite, mais d'autres seront modifiées pour revêtir l'uniforme attribué aux troupes françaises.

Et c'est parti pour égrappages et limages de ces figs.

À titre de comparaison de deux échelles, l'une au 1/72ᵉ et l'autre, au 1/35ᵉ.

Après la libération, en 44, du côté de l'Alsace, nous nous retrouvons dans les pays de l'Est, avec le conflit Russie-Ukraine. Henri prépare sa saynète, avec, d'un côté , l'hiver Russe et de l'autre, les terres ukrainiennes. À l'aide d'un choix de neige artificielle, de chez Green Stuff World, Henri s'ouvre à la technique de ces divers produits. En prime abord, il lui faut recouvrir le sol à l'aide d'enduit: pour terrain de chez AK.

La ligne rouge à ne pas franchir par les Russes (et pourtant!!!). Le produit ici utilisé de chez AK est une terre boueuse.

A la suite de cette préparation, mise de côté pour séchage, Henri s'intéresse maintenant à ses personnages au 1/72.

Cette présentation de figurines (rappelons l'échelle: du 1/72ᵉ.) fera prochainement l'objet d'un article d'Henri sur le site des CBA ou comment appréhender une petite figurine, à partir de plusieurs pièces, ses divers éléments, sa transformation, sa réalisation.

Continuons notre voyage au travers du temps et des lieus, en se rendant en Tunisie en 1942, avec le Dodge "portée" de l'adjudant Meunier.

Une saynète conçue et réalisée, voici quelques années, par Henri, toujours au 1/72ᵉ

Comme d'hab., beaucoup plus de photos dans la galerie d'Henri.

C'est l'heure d'arrivée de Stéphane, journée de boulot terminée.....ouf !!!

Après avoir accordé un p'tit moment à la saynète de Tunisie,

.... il faut choisir sa place (pas de blême, aujourd'hui, pour occuper l'espace), sortir le matos et repartir avec l'avion de la Grande Guerre.

Une doc. bien complète, mais bien complexe…

Et tous ces chemins de câbles, interne au fuselage ou pour piloter l'avion.

Les câbles de commande de l'avion se connectent au train d'atterrissage. Ils permettent aux pilotes d'abaisser ou de relever le train d'atterrissage. En plus du train d'atterrissage, les câbles de commande des avions sont souvent connectés aux gouvernails, aux systèmes moteurs et à divers systèmes d'urgence.

À l'époque, les trains étaient fixes et non rétractable. La technologie de l'époque n'en était qu'aux balbutiements de l'aviation

Et notre Cordelia entre en piste et découvre les figurines prévues pour rejoindre la bibliothèque déjà créée.

Quelques explications de mise en forme, indiquées par Henri, avant que je ne reprenne la suite (ou quelqu'un d'autre) pour la mise en peinture.

Dégraissage au produit à vaisselle, fixation d'une tige pour le maintien lors de la mise en peinture et enfin, sous couche d'apprêt blanc : trois exercices à effectuer avant peinture définitive.

Pour ma part, l'heure de départ étant arrivée, les cops, à la semaine prochaine.....

Oh, oh, les copains !!!! On est là !!!

Alors, à VENDREDI…

Texte et mise en page: Alain Barniaud

Photos; Alain Barniaud