Plus qu'à traverser la rue et j'arrive…
... dans une salle… vide.
... qui ne le reste pas trop longtemps.....
Et c'est qui ? C'est qui ??
D'accooooord !!!!
Ce sera Henri et Philippe !!!!
Les deux premiers fidèles parmi les plus fidèles de la troupe des CBA, mais je dois préciser qu'il n'y aura pas foule à notre réunion de ce vendredi, des problèmes de santé pour la plupart des absents. Il est assez aisé pour Philippe et Henri de pouvoir s'installer, un peu avant l'arrivée d'Anthony.....
Reprise, après deux semaines sans toucher les pinceaux, de la peinture de Custer....
C'est ti pas bô, tout ça ? Ooooooooooooooh, oui !!!
Moto ? Moto ? Vous avez dit, moto ??? La voilà, la voici !!!!
Encore plus de photos dans la galerie.
Et si on parlait un peu de la préoccupation d'Henri, et de ses drapeaux.....
Utilisations et traditions concernant ce drapeau, et plus spécialement le "Hinomaru".
Quand le Hinomaru est présenté pour la première fois, le gouvernement oblige les citoyens de saluer l’Empereur avec. Il y a un certain ressentiment de la part des japonais envers le drapeau et il en résulte quelques protestations. Le drapeau met du temps avant d’être accepté par le peuple
Pendant la Seconde Guerre mondiale, une coutume populaire consiste à offrir à un soldat appelé un Hinomaru signé par sa famille, ses amis et ses camarades de classes. Le drapeau est aussi utilisé en tant que porte-bonheur et comme prière portant le souhait de voir le soldat revenir sain et sauf de la bataille. Un des termes utilisé pour ce type de porte-bonheur est Hinomaru Yosegaki (日の丸寄せ書き). En accord avec la tradition, aucune écriture ne doit toucher le disque solaire. Après les batailles, ces drapeaux sont souvent capturés ou trouvés plus tard sur les corps des soldats japonais tués au combat. Alors qu'ils sont devenus des souvenirs, une tendance grandissante consiste à les renvoyer aux descendants des soldats auxquels ils ont appartenu.
La tradition de signer le Hinomaru pour qu’il devienne un porte-bonheur se perpétue mais de manière limitée. Le Hinomaru Yosegaki peut être exhibé lors d’événements sportifs, notamment pour encourager l’équipe nationale japonaise. Un autre exemple d’utilisation est le hachimaki, un bandeau que les japonais portent autour de leurs têtes, qui est de couleur blanche avec le soleil rouge en son centre. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les phrases « victoire certaine » (必勝, hisshō?) ou « sept vies » sont écrites sur les hachimaki portés par les kamikazes. Cela démontre la volonté des pilotes de mourir pour leur pays
Les drapeaux fournis dans le kit ne convenant pas à Henri(épaisseur du modèle trop important, pas représentatif de l'échelle), Henri préfère les avoir imprimés et les mettre en mouvement selon ses désirs…Chaque figurine sera porteuse de son Hinumari..... Un choix à définir afin de varier les attitudes.
Après les pavillons, Henri se penche sur la réalisation d'un véhicule.....et plus précisément, le moteur. Le tout, il s'agit de ne pas perdre l'un des infiniment petits axes du châssis… Ouf, l'affaire est retrouvée !!!!
Si, si, c'est un grand garçon, Anthony.....et pourtant, il est obligé de se hisser sur la pointe des pieds pour abaisser les stores de la véranda, afin d'en filtrer les rayons du soleil.....
Encore question de pointes, mais peinture de figurines, à la pointe du pinceau.....toujours les artilleurs de 14-18....
Content, Stéphane...., il est content, fin de semaine, être au club et enfin, pouvoir vaporiser et travailler sur le Newport, Fredo absent pour cette réunion…
Direction la véranda et installation de l'aéro.......
Et oups, c'est la cata!!! Pistolet bouché, mal nettoyé et ne fonctionne pas.
Illusions perdues!!
Il faut tout reprendre à zéro pour un nettoyage efficace, d'où perte de temps…
Au bout d'un certain temps, enfin, tout rentre dans l'ordre.....
Nos deux petits juniors nous rejoignent pratiquement simultanément… D'abord, c'est Cordelia qui fait son entrée et rejoint rapidement sa place, presque pinceau en main.....
Avant la venue de Cordélia, j'avais supprimé la brillance du pantalon bleu, ainsi que celle de la couche d'apprêt et repris les deux demoiselles en désépaississant la peinture couleur chair. Ensuite, Cordelia a fait le reste, pantalon et nouvelle couche d'apprêt.....Bravo, Cordelia, le résultat est impecc.
Et c'est au tour de Marcus à pénétrer dans la salle.
Pour lui, reprise des tons camouflage de son char, soutenu et aidé par Henri lors de cette tâche.
Et si maintenant, on se prenait un petit apéro... OK !!
Tchin !! À la vôtre !!
Et nos deux juniors vous disent.
À VENDREDI
ensuite, ce sera relâche durant deux semaines.
Texte et mise en page: Alain Barniaud
Photos: Alain Barniaud.