Après un p'tit incident de parcours, je parviens finalement au seuil de la salle vers les 14 h 30 et retrouve Marc qui, le pauvre, était présent sur les lieux depuis environ 13 h 30.....
Après ouverture, .....
Pas Bruno, aujourd'hui, formation oblige....
Pas Yann, aujourd'hui, santé pas au beau fixe...
Mais, aujourd'hui, nous aurons donc la présence de Marc et Pierrot....
.... de Philippe…
Et, pour finir, des deux concertistes festivaliers, Stéphane et Anthony, de retour de Padoue, après un festival de "Métal"....
Et, voici tout ce petit monde installé pour la journée.
L'hélico et Pierrot.
Les brancards transportant les blessés sont maintenant placés.
Il est grand temps de passer à un autre domaine. Pierre se penche maintenant sur une peinture à l'huile d'un plat d'étain, qui n'en porte que le nom de catégorie, ce plat étant d'une matière autre que du métal.
Attirés par ce style de peinture, Philippe et Marc se sont rapprochés de Pierre, qui leur a fourni quelques indications concernant cet exercice.
Le zodiac et Marc.
Le travail d'aujourd'hui consiste en la préparation du poste de pilotage.
La moto, les figurines de Philippe.
Une nouvelle moto, sortie des vitrines de Philippe..... La moto, accompagnée de son histoire: après avoir connu les frasques de sa réalisation, cette moto s'est vu remaniée par Philippe, décalcomanies reprises pour donner un résultat plus que respectable…
Plus de photos dans la galerie de Philippe: les motos
Les toutes premières figurines , voici quelques années, déjà, sont loin de convaincre Philippe. Aujourd'hui, c'est la présentation de ce prétorien romain, à la peinture de l'époque, sans trop de nuance, pratiquée certainement à l'aide de petits pots humbrol.... Il est fort possible que Philippe envisage une reprise picturale de cette figurine.....après comparaison de sa façon actuelle de pratique.....
Plus de photos dans la galerie de Philippe: les figurines.
Aujourd'hui, c'est la suite de la mise en peinture du Poilu 14-18., avec un élément qu'affecte spécialement Philippe: les bandes molletières.
Une aide bien utile que cette représentation d'uniforme de Poilu...
Une palette de bleus ,riche en nuances.
Les fameuses bandes molletières
Le 11 novembre d'Anthony.
À l'instar de ses copains, Anthony également se lance dans la préparation d'une saynète pour notre participation du 11 novembre, à La Trinité, si notre projet est retenu.
Il se penche sur la réalisation d'un canon 155 mm au 1/35.
Le canon de 155 C modèle 1917 Schneider, souvent désigné comme C17S, était un obusier français développé par la société Schneider et Compagnie pendant la Première guerre mondiale et exporté dans plusieurs pays.
initialement conçu par une initiative privée de Schneider, qui espérait obtenir un contrat de l'armée impériale russe, le canon de 155 mm court modèle 1915 est rapidement adopté par l'armée de terre française lors de sa présentation, en septembre 1915, lorsque le conflit s'enlise. Il entre en service en avril 1916 et 46 sont en parc en août 1916.
Moderne et performant, le 155 C devient le principal canon lourd français de la première guerre mondiale. Le premier modèle 1915 utilisait des douilles en laiton pour la charge. Le modèle 1917 ne diffère que par quelques modifications de la culasse et sa capacité à tirer désormais avec charge propulsive en gargousse plutôt qu'en douille (plus économique et facile à transporter).
Relativement léger pour sa catégorie avec une masse en position de tir de 3 230 à 3 300 kg en batterie, il tire avec son canon de 15 calibres jusqu’à une distance de 11 200 m un obus de 43,55 kg. Il existe cinq types de projectiles : explosif, à mitraille, à balles, fumigène ou gaz de combat, éclairant. Son pointage en hauteur est de 0 à 42 degrés et il dispose d'un champ de 6 degrés pour un pointage en direction.
Il montra d'excellentes qualités de tir plongeant et de plein fouet. Sa portée supérieure à 10 km lui permet de contrebattre les batteries ennemies à une distance respectable, en plus de son rôle dévolu de canon de destruction de retranchements.
Le 155 C'est adopté par le corps expéditionnaire américain sous l'appellation M1917A1. Il est en service en France en novembre 1918 à plus de 1 500 exemplaires et équipe encore à plusieurs centaines d'exemplaires l'armée française en 1940.
Les exemplaires capturés par l'Allemagne seront désignés 15,5 cm sFH 414 (f) pour les canons français et 15,5 cm sFH 414 (b) pour ceux pris sur l'armée belge2.
Un de ses tracteurs d'artillerie durant la bataille de France en 1940 est le Somua MCG mais il existe encore de nombreuses pièces à traction hippomobile.
Chaque pièce hippomobile attelant un canon a généralement à sa tête un maréchal des logis et compte une vingtaine d'hommes : deux brigadiers et maîtres pointeurs, huit servants, sept conducteurs montés, un ou deux conducteurs non montés, dix-sept chevaux et deux voitures : une à huit chevaux pour le canon et une à six chevaux pour le caisson. Ce dernier peut transporter 28 obus, trois caisses à gargousses (charges de poudre), trois servants avec leur équipement et divers accessoires ou en service de ravitaillement, 36 obus et trois caisses à gargousse.
D'après Wikipédia
La traction et Stéphane…
Pas de 11 novembre, pour Stéphane, mais une prévision de saynète, où entrera en piste, une Citroën traction, au 1/48.
"On se la joue cool, dans notre midi !!!"
Comment ?? Pas d'apéro, ce soir ??.....mais si, même si pas trop de participants autour de la table.....
Petit rappel: pas de réunion vendredi prochain, 14 juillet...
Alors, on se retrouve le vendredi 21 juillet.
Bonnes vacances et à bientôt.
Texte et mise en page: Alain Barniaud
Photos: Alain Barniaud.